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1765, 5 novembre - William Lloyd

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  1765, 5 novembre – William Lloyd Homicide à motif indéterminé – arme à feu Québec, Porte Saint-Louis – 1 SC Non élucidé. Lieutenant Hugh D. Hardin, responsable selon le coroner, …?             À la suite du meurtre de William Lloyd, le coroner Werden a demandé qu’on appréhende le lieutenant Hugh D. Hardin, du 28 e Régiment. Ce dernier a été reconnu coupable responsable du meurtre de Lloyd, qui faisait partie du 52 e Régiment de Sa Majesté. Selon le témoignage d’un soldat de 27 ans, il se trouvait à la porte Saint-Louis lorsqu’il a vu les soldats Harrison et Hutchinson s’approcher en supportant le corps d’un homme en uniforme (William Lloyd). Il a constaté que la baïonnette de Lloyd n’était plus dans son fourreau. Selon un autre militaire, commandant à la porte Saint-Louis, un coup de feu a été tiré vers 14h50 depuis un fusil à double canon. Lorsqu’il est sorti avec trois autres hommes, ils ont découvert le corps de Lloyd.             On ignore cependant si des poursuites

Les dossiers rejetés par le DHQ

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    Le Dictionnaire des Homicides commis au Québec (DHQ) s'est principalement donné deux règles dans sa politique de sélection pour mieux comptabiliser les homicides. La première se situe au niveau géographique. C'est-à-dire qu'il est essentiel que le crime ait été commis en sol québécois.     La deuxième exigence , il faut que l'homicide soit prouvé. Facile, vous me direz!? Ce n'est pas aussi évident que cela et c'est pourquoi il est nécessaire d'apporter quelques précisions.     Certains cas ambigües ont été rejetés parce qu'ils ne répondent pas aux critères de la définition d'un homicide. Par exemple, il suffit de penser aux dossiers où les corps n'ont pas été retrouvés. Ceux-là, on les considère généralement comme des disparitions. Cela peut s'avérer triste pour certaines familles qui sont convaincus d'une théorie, mais la rigueur nous oblige à respecter des règles. Bien sûr, il existe des exceptions où on peut condamner une personne

1765, 12 août - Thomas Walk

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  Homicide à motif indéterminée – arme à feu Château-Richer, Québec – 2 SC Non élucidé. Le 12 août 1765, Thomas Walk a été atteint d’un projectile d’arme à feu tiré par un inconnu. Ce meurtre s’est produit dans la paroisse de Château-Richer, à Québec. Selon le rapport du coroner, le projectile l’a heurté derrière l’oreille droite pour ressortir au-dessus de son œil droit. Walk aurait survécu durant une heure avant de rendre l’âme. [1] Selon La gazette de Québec [2] , Walk avait séjourné 16 mois à Château-Richer dans la maison de Pierre Gravel. On le disait déserteur et cinq hommes étaient à ses trousses. On a vu Walk marcher devant deux hommes armés de fusils, l’un d’eux l’a mis en joue et lui a tiré dans la tête. Un jeune homme aurait été témoin du crime. Les hommes armés ont ensuite abandonné le corps de Walk dans une grange, où il s’est éteint une heure plus tard. Le coroner a conclu qu’il s’agissait d’un meurtre commis volontairement. [3] [1] « Généalogie et hist

2024, 21-26 septembre - Kelsey Watt, 29 ans

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Nicholas Gravel et Kelsey Watt Homicide domestique par un conjoint non suicidaire? - ?   Hemmingford - ? SC   Nicholas Gravel, son conjoint, ...dossier en cours.   Le 21 septembre 2024, Kelsey Watt, 29 ans, est soudainement disparue dans la région d’ Hemmingford . Immédiatement, les médias avaient retransmis l’information selon laquelle la famille craignait pour sa sécurité, même si la jeune femme avait l’habitude de se balader toute seule dans les boisés du secteur. Des recherches ont rapidement été organisées afin de la retrouver.   Le jeudi 26 septembre, le corps de Kelsey Watt a été retrouvé, à quelques pas de chez elle. Peu de temps après cette découverte, les autorités ont procédé à l’arrestation de son conjoint, Nicholas Gravel. 131 Selon certaines sources, l’homme était aux prises avec des problèmes de consommation.   L’arrestation du conjoint pourrait laisser entrevoir la possibilité de classifier ce crime sous la catégorie des homicides domestiques par un conjoint non sui

1763, 27 janvier - Louis-Étienne Dodier, 28 ans

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  1763, 27 janvier – Louis-Étienne Dodier, 28 ans Homicide domestique par une conjointe/conflictuel [1] – Arme piquante (fourche) Saint-Vallier – 1 SC Marie-Josephte Corriveau, épouse de la victime, reconnue coupable et exécutée. Son premier mari étant mort le 25 avril 1760, en pleine tourmente de l’invasion anglaise, Marie-Josepthe Corriveau s’est remariée le 20 juillet 1761 avec Louis Dodier. [2] Selon les auteurs Ferland et Corriveau, le couple vivait dans une situation aisée sans pour autant être dans le luxe. Toutefois, une rivalité s’est installée entre Dodier et le père de sa femme, si bien que leurs disputes ont alimentés les ragots. Selon les mêmes auteurs, le caractère violent de Joseph Corriveau était bien connu, au point d’échanger des menaces sérieuses à l’endroit de son gendre. « Une hache à la main, Corriveau se précipite sur Louis Dodier. Ce dernier se retire mais revient aussitôt, armé d’un bâton, et déclare « Frappe, mais manque pas ton coup parce que, si tu