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Alice Paré Homicide sexuel? – strangulation Drummondville Non élucidé Alice Paré est née le 4 janvier 1957. En 1971, on la décrivait comme une jeune fille de 14 ans plutôt « fluette » de 70 livres et mesurant 4 pieds et 5 pouces. Elle habitait avec ses parents au 667 boulevard Mercure, à Drummondville. On la considérait comme une étudiante modèle et très rangée. Le mercredi 17 février 1971, Alice se rendit à son cours de flûte traversière au CEGEP de Drummondville, au pavillon de musique Gilles Fortin, situé au 466 rue Saint-Jean. Le cours devait avoir lieu de 17h30 à 18h00, mais elle se présenta en retard d’une dizaine de minutes. Le professeur, Marcel Saint-Jacques, n’avait pu attendre plus longtemps et il était parti. Déçue, Alice emprunta 5¢ à Louise Larocque, une amie de son âge, et une autre pièce de même valeur à Jean Vanasse, 19 ans. En sortant du pavillon, Alice traversa la rue St-Jean pour entrer dans une cabine tél...
Homicide domestique par un conjoint suicidaire – Arme blanche Québec, faubourg Saint-Jean – 1 SC John Cook, son amant, s’est suicidé après son crime. Selon Le Courrier de Québec , un soldat du nom de John Cook semblait avoir une liaison avec une femme mariée. Et ce dimanche-là, sans qu’on explique pourquoi, dans le faubourg Saint-Jean, à Québec, c’est « dans la maison du mari de la femme [que] Cook se levant tout à coup de table, coupa le cou de la femme et ensuite le sien. » Sa victime est morte deux heures plus tard. Tout ce qu’on sait à propos du tueur c’est qu’on a enterré son corps « dans une fourche de chemin, près l’Hôpital Général. »
1807, 13 septembre – Simon Latresse , 25 ans Homicide à motivation socio-politique – arme à feu (pistolet) Québec , faubourg Saint-Jean – 1 SC Non élucidé. Matelot non identifié sous les ordres du lieutenant Andrel , du vaisseau Le Blossom . Un certain samedi soir, Simon Latresse était en train de danser dans le faubourg Saint-Jean, à Québec , lorsqu e des hommes de la presse des matelos – selon une loi adoptée en 1799, on pouvait forcer de jeunes hommes à travailler sur des navires lorsqu’on manquait de matelots – qui agissaient sous les ordres du lieutenant Andrel , du vaisseau Le Blossom , ont fait leur entrée dans l’établissement . Latresse a pris la fuite et un marin l’a abattu d’un coup de pistolet. On l’a transporté à l’Hôtel-Dieu de Québec, où il a succombé à sa blessure. Il laissait dans le deuil sa vieille mère de 75 ans qu’il supportait financièrement. Selon Boyer, Le Blossom , commandé par George Picket , a quitté le port de ...
Homicide à motif indéterminé 79 – Arme à feu Nicolet – 1 SC Campbell et Joseph Manuel , pendu s . Deux déser t eurs du 49 e régiment, dont l’un s’appelait Campbell et l’autre Joseph Manuel , se sont réfugié s dans une grange de Nicolet. Tout ce qu’ils avaient avec eux était un fusil, de la poudre et des balles. Le 5 juillet, ils ont trouvé refuge dans la grange d’un dénommé Rousseau à Nicolet. Rapidement, ils ont été cernés par une trentaine d’hommes de la milice des Trois-Rivières. Les deux déserteurs ont d’abord résisté . Manuel, un espagnol , refusait de se rendre et menaçait quiconque de venir le chercher par la force. Noble , qui connaissait bien Campbel , leur a finalement donné un ultimatum de 30 minutes pour se rendre. Avant la fin du délai, cependant, Campbell et Manuel les ont appelé pour négocier une reddition. En s’approchant, Noble a alors demandé aux deux fugitifs de rendre leur arme. Crevier- Deschenaux et Antoine Fleur ians se ...
2000, 12 janvier – Rosaire Robidoux, 64 ans; et Mercédès Bondu-Robidoux, 65 ans Homicide sans discernement commis lors d’un vol – Arme à feu Cap-de-la-Madeleine,rue Latreille – 2 SC Dominic Noël, prison à vie sans possibilité de libération avant 25 ans. Dans la soirée du 12 janvier 2000, Rosaire Robidoux, 64 ans, et sa femme Mercédès Bondu-Robidoux, 65 ans, ont été assassinés dans leur commerce de la rue Latreille, au Cap-de-la-Madeleine 1 . Leur commerce offrait plusieurs types de marchandises, ainsi que des armes à feu et de l’équipement pour la chasse et la pêche. Ils ont été abattus d’au moins un projectile chacun. Lorsque la police a découvert les corps, M. Robidoux « était couché derrière le comptoir de vente des armes à feu. Il présentait une plaie importante au visage. Quant à sa femme, elle se trouvait plus loin dans le commerce, plus précisément dans l’entrepôt, couchée sur le ventre. Elle a été atteinte d’une balle dans la nuque. On p...
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