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Roland McClure, 25 ans. Le 19 juin 1966, Roland McClure, 26 ans, se trouvait dans le grill d’un hôtel de Rock Island, en Estrie, en train de vendre des billets pour un shower mixte. « Il avait bu six ou sept grosses bouteilles de bière. Selon lui, M. Kerr a voulu acheter un billet d’une valeur de 1.25$. Le vieillard a présenté environ 25 cents en monnaie pour obtenir le billet. McClure lui a souligné qu’il manquait 1$. M. Kerr a alors tenté de lui enlever le billet. McClure a poursuivi en disant que « le vieux » lui a donné trois coups de poings et un quatrième comme il partait. » [1] Lors de l’enquête du coroner, le principal témoin a été McClure lui-même, un homme de 5 pieds et 11 pouces pesant 185 livres. Il a cependant avoué avoir frappé Kerr et que celui-ci était tombé. Selon Jean-Guy Rodrigue, un témoin de la scène, il a vu McClure donner une poussée avec sa main ouverte à Kerr, qui mesurait 5 pieds et trois pouces pour 140 livres. Rodrigue a ensuite e
Milia Abrar, 22 ans. 1998, 20 octobre – Milia Abrar , 22 ans Homicide à motif indéterminé – arme blanche (couteau) Montréal, parc Angrignon – 1 SC Non élucidé. Le 20 octobre 1998, c’est dans les toilettes du parc Angrignon, à Montréal, qu’on a retrouvé le corps de Milia Abrar, une jeune étudiante de 22 ans. Ce sont deux employés de la Ville de Montréal qui ont fait la découverte vers 16h45. La victime était assise sur les toilettes et ses vêtements étaient intacts. Les traces de sang observés sur les lieux semblaient démontrer qu’il y avait eu bagarre. Selon ce que la police a révélé à La Presse , la victime n’aurait pas été agressé sexuellement mais elle a succombé après avoir reçu plusieurs coups de couteau à l’abdomen et dans le dos. Ses proches soupçonnaient une connaissance de la victime. À l’époque des faits, la police laissait entendre qu’elle était sur le point de résoudre l’affaire. Or, il n’y a jamais eu d’arrestation en lien avec ce dossier.
Photo du corps de Claire qui a permis de l'identifier. Dans la soirée du 27 février 1965, c’est un automobiliste qui circulait près du parc Maisonneuve, à Montréal, qui a remarqué le corps d’une femme qui gisait à demi-nue en bordure du trottoir. Celle-ci était gelée et portait plusieurs marques de coups. On a estimé qu’elle était âgée dans la trentaine. Tout ce qu’elle portait c’était un haut de pyjama et une montre. Sa mort remontait à plusieurs heures. Une semaine plus tard, les enquêteurs ont découvert que la montre avait été réparée 3 ans plus tôt par un bijoutier de Montréal. La personne qui était venu récupérer le bijou avait signé « Mme Paré ». Dès lors, on pensait détenir au moins le nom de famille de la victime. C’est donc avec ces quelques informations qu’on a publié la photo du corps. On demandait l’aide du public pour l’identifier formellement. On estimait maintenant son âge entre 18 et 25 ans. Elle mesurait 5 pieds et un pouce et avait les yeux bruns, les cheveux c
2000, 28 avril – Guylaine Potvin , 19 ans Homicide sexuel – Strangulation – Viol Saguenay, Jonquière, 3897 rue Panet – 1 SC Marc-André Grenon, 47 ans (2022), prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle avant 25 ans. Le 28 avril 2000, c’est dans le sous-sol d’une résidence pour étudiants, situé près du Cégep de Jonquière, à Saguenay, qu’on a retrouvé le corps de Guylaine Potvin, 19 ans. La jeune femme avait été étranglée, violée et battue dans son propre lit. [1] Guylaine a été identifiée par son amie Audrey St-Pierre. Selon le rapport du coroner Michel Miron, l’autopsie a été pratiquée par le Dr Claude Pothel au Laboratoire de sciences judiciaire et de médecine légale de Montréal. Le responsable de l’enquête était l’agent Pierre Lévesque de la police municipale de Jonquière. Puisque les enquêteurs n’arrivaient pas à amasser suffisamment de preuve pour désigner un suspect, le rapport du coroner contient très peu d’information. L’affaire était destinée à demeu
Dave Ceresetto Le samedi 27 mai 1967, un pêcheur, Michel Potas, a découvert deux jambes d’homme coupées à la hauteur du fémur dans la rivière Richelieu, sous le pont de l’autoroute des Cantons de l’Est, près de Granby. Deux jours plus tard, les policiers n’avaient toujours pas retrouvé les autres parties du corps. Les deux jambes flottaient à une vingtaine de pieds l’une de l’autre quand on les a trouvées. Selon l’autopsie, les deux jambes avaient séjourné environ deux semaines dans l’eau. Déjà, La Presse faisait un lien avec la pègre, tout en rappelant les cas de Larry Petrov et du décapité de la rue Bourbonnière. Le 5 juin, La Voix de l’Est annonçait que les jambes pourraient être celles du Dr Ziegler, disparu depuis quelques semaines et qui ne s’était pas présenté à son procès sur une accusation d’avortement. Selon la Sûreté provinciale, le Dr Ziegler aurait pu être éliminé par la pègre, mais cette piste n’a jamais été prouvée. Toutefois, il semble qu’on se trompait sur l’id
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