Messages

Affichage des messages portant l'étiquette non élucidé

Le meurtre non élucidé de Milia Abrar, 22 ans

Image
  Milia Abrar, 22 ans. 1998, 20 octobre – Milia Abrar , 22 ans Homicide à motif indéterminé – arme blanche (couteau) Montréal, parc Angrignon – 1 SC Non élucidé. Le 20 octobre 1998, c’est dans les toilettes du parc Angrignon, à Montréal, qu’on a retrouvé le corps de Milia Abrar, une jeune étudiante de 22 ans. Ce sont deux employés de la Ville de Montréal qui ont fait la découverte vers 16h45. La victime était assise sur les toilettes et ses vêtements étaient intacts. Les traces de sang observés sur les lieux semblaient démontrer qu’il y avait eu bagarre. Selon ce que la police a révélé à La Presse , la victime n’aurait pas été agressé sexuellement mais elle a succombé après avoir reçu plusieurs coups de couteau à l’abdomen et dans le dos. Ses proches soupçonnaient une connaissance de la victime. À l’époque des faits, la police laissait entendre qu’elle était sur le point de résoudre l’affaire. Or, il n’y a jamais eu d’arrestation en lien avec ce dossier.

Le meurtre non résolu du petit Ralph Andosca

Image
  Cette illustration a été publiée en 1962 dans Le Petit Journal afin d'illustrer le meurtre non résolu du jeune Andosca, survenu en 1905. Le petit Ralph Andosca était un garçon de 12 ans. Le 16 août 1905, il s’est rendu à une source d’eau potable avec son ami James Todd afin de remplir le baril qu'ils transportaient dans un tombereau, une voiture de charge montée sur deux roues et tirée par un seul cheval. Ensuite, ils devaient revenir vers un campement composé d'environ 150 ouvriers qui s'affairaient à construire la voie ferrée entre Kingsbury et Windsor Mills, en Estrie. Sur place, le père de Ralph, Frank Andosca, s'occupait ensuite à redistribuer l'eau afin de rafraîchir les travailleurs. À leur retour de la source, après avoir rempli leur baril, Andosca montait un cheval, tandis que Todd conduisait l'autre cheval qui tirait le tombereau. Il était environ 18h00 lorsque les deux garçons revenaient sur la route entre Windsor Mills et Melbourne, non loin d

1971, 17 janvier - Alice Paré

Image
  Alice Paré Homicide sexuel? – strangulation Drummondville Non élucidé Alice Paré est née le 4 janvier 1957.   En 1971, on la décrivait comme une jeune fille de 14 ans plutôt « fluette » de 70 livres et mesurant 4 pieds et 5 pouces.   Elle habitait avec ses parents au 667 boulevard Mercure, à Drummondville. On la considérait comme une étudiante modèle et très rangée. Le mercredi 17 février 1971, Alice se rendit à son cours de flûte traversière au CEGEP de Drummondville, au pavillon de musique Gilles Fortin, situé au 466 rue Saint-Jean.   Le cours devait avoir lieu de 17h30 à 18h00, mais elle se présenta en retard d’une dizaine de minutes.   Le professeur, Marcel Saint-Jacques, n’avait pu attendre plus longtemps et il était parti.   Déçue, Alice emprunta 5¢ à Louise Larocque, une amie de son âge, et une autre pièce de même valeur à Jean Vanasse, 19 ans. En sortant du pavillon, Alice traversa la rue St-Jean pour entrer dans une cabine téléphonique avec l’intention de téléphone

1985, 29 juin - Sylvie Poirier, 25 ans

Image
  Homicide? – Deux scènes de crime? Photo publiée dans Le Soleil , 30 juin 1985. Saint-Jean-Chrysostome, Breakeyville, près de Lévis Non élucidé. Originaire de Rimouski, Sylvie Poirier, 25 ans, demeurait à Québec depuis un certain temps. Son corps a été découvert en bordure de la rue des Pins à Breakeyville le 29 juin. Selon Le Soleil, elle a plutôt été découverte à Saint-Jean-Chrysostome, sur un chemin de terre situé près de la route des Érables. La police était convaincue qu’il s’agissait d’un meurtre. En revanche, l’autopsie n’a pu déterminer la cause du décès. « Pratiquée à l’Institut médico-légal de Québec, l’autopsie n’a relevé aucune blessure mortelle ni externe ni interne. La jeune femme avait un côté de la figure enflée, possiblement le résultat d’une chute. Les analyses en laboratoire ont eu lieu à l’Institut de police scientifique de Montréal. C’est en effectuant une balade avec son tricycle à moteur que M. Raymond Alain, de Breakeyville, a aperçu le corps de la jeune