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1970, septembre - Jean-Marie Viel

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  Jean-Marie Viel Premier meurtre de Yves Apache Trudeau, sur aveux de Trudeau En octobre 1986, suite à des révélations faites par le tueur à gages Yves « Apache » Trudeau, alors devenu délateur, des fouilles ont été entreprises pour retrouver le corps de Jean-Marie Viel à St-Luc-de-Vincennes, en Mauricie. Celui-ci était présumé mort depuis septembre 1970. « Dans la confession de ses nombreux meurtres, Trudeau aurait avoué avoir commis son premier, assassinant Viel, parce que ce dernier aurait volé une moto. Trudeau, alors qu’il était chef du groupe de motards « Popye », l’aurait abattu de plusieurs balles pour ensuite faire disparaître le corps en l’enterrant dans le village de Saint-Luc. » [1] Malgré ces confidences, il semble que son corps n’ait jamais été retrouvé. En 1970, les Popeys possédaient un local dans le rang Saint-Alexis et un autre sur la rue Marchand à Saint-Louis-de-France, devenu depuis un secteur de la Ville de Trois-Rivières. [1] Yves Champoux, « Apac

Trajectoire: revue de presse 1969-1995 (2/100)

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Le mardi 4 novembre, c’est avec l’approbation de son supérieur, le capitaine-détective Georges Gagnon, que Louis-Georges Dupont avait à nouveau pris congé. Le mercredi 5 novembre, il « arrive à son bureau à l’heure habituelle, soit vers 8 heures, mais on a remarqué par la suite que contrairement à son habitude, il n’avait pas « poinçonné » sa carte de temps. Le même jour, vers 8h30 du matin, il prend l’auto verte de la police, celle dont il se sert habituellement, et part vers l’extérieur de la ville, dans le but de conduire une enquête. » [5] C’est apparemment la dernière fois qu’on devait le voir vivant. [6] La Commission de police du Québec (CPQ), qui avait pour mission d’enquêter sur les corps policiers afin d’uniformiser leur efficacité, était venue investiguer à Trois-Rivières lors d’audiences tenues entre le 12 août et le 19 septembre 1969. Cette commission d’enquête s’était déroulée dans un contexte peu orthodoxe puisque des rumeurs circulaient depuis un certain temps à propo

1662 - Antoine dit Larose (Laroze)

  Aucune accusation connue. Larose était un soldat dont le nom apparaît en 1662 sur des documents du Conseil souverain parce que Maurice Poulain (Poulin), sieur de la Fontaine et procureur fiscal, demande à obtenir les biens du défunt, que l’on croyait avoir été tué par des Iroquois. Il semble que jamais personne n’ait comparu pour ce crime. Toutefois, Poulin a obtenu ce qui restait des biens du disparu : 98 livres, 17 sols. [1] [1] « Généalogie et histoire familiale | BAnQ », Bibliothèque et Archives nationales du Québec, consulté le 8 décembre 2018, http://www.banq.qc.ca/archives/genealogie_histoire_familiale/ressources/bd/index_gen_avance.html?id=CORONER_20170816.

1985, 29 juin - Sylvie Poirier, 25 ans

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  Homicide? – Deux scènes de crime? Photo publiée dans Le Soleil , 30 juin 1985. Saint-Jean-Chrysostome, Breakeyville, près de Lévis Non élucidé. Originaire de Rimouski, Sylvie Poirier, 25 ans, demeurait à Québec depuis un certain temps. Son corps a été découvert en bordure de la rue des Pins à Breakeyville le 29 juin. Selon Le Soleil, elle a plutôt été découverte à Saint-Jean-Chrysostome, sur un chemin de terre situé près de la route des Érables. La police était convaincue qu’il s’agissait d’un meurtre. En revanche, l’autopsie n’a pu déterminer la cause du décès. « Pratiquée à l’Institut médico-légal de Québec, l’autopsie n’a relevé aucune blessure mortelle ni externe ni interne. La jeune femme avait un côté de la figure enflée, possiblement le résultat d’une chute. Les analyses en laboratoire ont eu lieu à l’Institut de police scientifique de Montréal. C’est en effectuant une balade avec son tricycle à moteur que M. Raymond Alain, de Breakeyville, a aperçu le corps de la jeune