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Meurtre non résolu du chauffeur de taxi Roland Faucher

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  Photo de John Leblanc publiée dans L'Action Catholique en 1950. 1950, 12 octobre – Roland Faucher, 35 ans Homicide commis lors d’un vol – objet contondant St-Pierre de l’Île d’Orléans Non élucidé.             Le 12 octobre 1950, vers 20h50, au kiosque du Carré Jacques-Cartier, un jeune homme s’est présenté au chauffeur de taxi Roland Faucher pour lui demander de le conduire à Saint-François. Un peu plus tard, tandis que le taxi roulait dans Saint-Pierre de l’île d’Orléans, le jeune homme, assis à l’arrière, s’est mis à frapper Faucher à la tête avec un objet contondant. Sous les coups, la tête de la victime est tombée sur son volant, actionnant le klaxon en continue, ce qui a attiré l’attention de quelques cultivateurs. Lorsque ceux-ci sont arrivé près de la voiture, Faucher était déjà couvert de sang et son agresseur avait disparu. Faucher est décédé quelques jours plus tard.             La photo d’un suspect a été publiée peu de temps après. En voyant sa photo dans le

Meurtre non résolu à Baie-du-Fèvre en 1795

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  1795, ?-1 er novembre – Homme non identifié Homicide à motif indéterminé – Mutilation Baie-du-Fèvre, Trois-Rivières – 2 SC Non élucidé. Selon une enquête de coroner réalisée dans la maison d’un dénommé Jacques Cloutier à Baie Saint-Antoine (Baie-du-Fèvre), dans le district juridique de Trois-Rivières, un autochtone du nom de Joseph Constance aurait trouvé le cadavre d’une personne non identifiée aux abords de la rivière Nicolet le 1 er novembre 1795 et s’est empressé de venir partager sa découverte avec un certain Capitaine Houde. Constance est retourné sur les lieux avec Houde et d’autres hommes pour découvrir que le corps avait été décapité et démembré, en plus d’avoir été poignardé à plusieurs reprises au ventre. Le 5 novembre, le coroner a facilement conclu qu’il s’agissait d’un meurtre. Il a noté que la victime avait eu la tête coupée, ainsi que les deux bras, la jambe gauche coupée dans « la jointure du genou et la chair fendue ». La jambe droite a été coupée au nivea

1967, 3 octobre - Christiane Lacombe, 32 ans

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  Homicide domestique par un conjoint – objet contondant Québec, 532 Saint-Valier ouest – 1 SC Gérard Emond, son conjoint de 32 ans, condamné à perpétuité.             Au cours de la nuit du 3 octobre, une voisine du 532 Saint-Vallier, à Québec, a entendu un cri effrayant. Au matin, on découvrait le corps de Chistiane Lacombe au pied de son lit. Selon Le Soleil , son crâne présentait un large enfoncement à la tempe droite. Son mari, Gérard Emond, qui était chômeur depuis deux ans, a appelé la voisine à son réveil pour lui faire part du drame. Les policiers ont rapidement procédé à son arrestation. La victime aurait succombé à un coup « porté avec un instrument contondant et de forme large. » [1] Au moment de subir son procès, en mars 1968, Emond, alors défendu par Me Irénée Simard [2] , a déclaré : « Lorsque je me suis levé, le 3 au matin, j’ai vu ma femme étendu[e] par terre : j’ai crié et j’ai tenté de la réveiller … elle était morte … ma femme, c’était de l’or pour moi… »

Du nouveau sur la chaîne YouTube

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 Vous l'aurez peut-être déjà constaté, depuis quelques semaines je poste régulièrement de courtes vidéos sur ma chaîne YouTube afin de vous partager plus facilement certains faits et découvertes. Ce médium est maintenant une autre façon de me suivre et de partager ensemble nos connaissances à propos des dossiers judiciaires du Québec. Rendez-vous chaque matin de semaine sur ma chaîne YouTube. Une vidéo y sera publié quotidiennement dès 6h00 le matin, du lundi au vendredi. C'est un rendez-vous!

1990, 2 janvier - le meurtre non résolu de Jacques Bernard, 50 ans

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  Jacqueline Bernard Le 1 er janvier 1990, Jacqueline Bernard a participé à une fête du Nouvel An chez sa fille avant de remonter chez elle, dans l’appartement au-dessus, en fin de soirée. Le 2 janvier, vers 9h00, Jacqueline Bernard, une mère de famille de 50 ans, est retrouvée chez elle par l’une de ses filles, Marlène Toupin, 23 ans, dans l’appartement no 1 du 1076 de la 1 ère Avenue, à Pointe-aux-Trembles. Celle-ci habitait le logement au-dessous de celui de sa mère. La victime, qui occupait le loyer depuis le début décembre 1989, est morte quelques heures plus tôt. On croit qu’elle a été frappée à plusieurs reprises à la tête par un objet contondant. Elle gisait sur un matelas qui avait été placé sur le plancher de la chambre à coucher. Plus tôt, lors d’une fête du Nouvel An organisée chez sa fille, celle-ci dira l’avoir vu couchée sur un matelas la tête dissimulée par une couverture. Croyant qu’elle dormait, Marlène était retournée chez elle en refusant de la déranger. Selon un