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Combien de temps pour étudier un procès?

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Bonne année 2021!

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Méthodologie utilisée pour mes analyses de procès criminels

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1971, 17 janvier - Alice Paré

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  Alice Paré Homicide sexuel? – strangulation Drummondville Non élucidé Alice Paré est née le 4 janvier 1957.   En 1971, on la décrivait comme une jeune fille de 14 ans plutôt « fluette » de 70 livres et mesurant 4 pieds et 5 pouces.   Elle habitait avec ses parents au 667 boulevard Mercure, à Drummondville. On la considérait comme une étudiante modèle et très rangée. Le mercredi 17 février 1971, Alice se rendit à son cours de flûte traversière au CEGEP de Drummondville, au pavillon de musique Gilles Fortin, situé au 466 rue Saint-Jean.   Le cours devait avoir lieu de 17h30 à 18h00, mais elle se présenta en retard d’une dizaine de minutes.   Le professeur, Marcel Saint-Jacques, n’avait pu attendre plus longtemps et il était parti.   Déçue, Alice emprunta 5¢ à Louise Larocque, une amie de son âge, et une autre pièce de même valeur à Jean Vanasse, 19 ans. En sortant du pavillon, Alice traversa la rue St-Jean pour entrer dans une cabine téléphonique avec l’intention de téléphone

1970, 6 février - Doris Faucher, 23 ans; et Majella Bouchard, 25 ans

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  Majella Bouchard Homicide par un ex-conjoint – Double homicide – schizophérnie – arme à feu (carabine .30-30) Doris Faucher Sainte-Foy – 710, rue de Norvège Michel Lebourhis, 25 ans, acquitté pour aliénation mentale Le 6 février 1970, Doris (ou Dorisse) Faucher et son conjoint, Majella Bouchard, ingénieur originaire de Montréal, étaient assassinés dans leur appartement de la rue de Norvège, à Ste-Foy. Le crime se serait produit vers 4h00 du matin, lorsqu’un homme a arraché le crochet d’une porte afin de surprendre le couple dans leur sommeil. Certains articles publiés à l’époque de l’incident parlent de traces de lutte, mais Bouchard a été atteint de trois projectile de calibre .30-30, au thorax et à l’abdomen. Quant à elle, sa conjointe a été tuée d’une balle dans la nuque et d’une autre dans le dos. [1] Tous deux ont été retrouvés nus et baignant dans leur sang. Bouchard était étendu dans le couloir, près de la salle de bain, « tandis que Mme Bouchard était sans vie dans une

1970, septembre - Jean-Marie Viel

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  Jean-Marie Viel Premier meurtre de Yves Apache Trudeau, sur aveux de Trudeau En octobre 1986, suite à des révélations faites par le tueur à gages Yves « Apache » Trudeau, alors devenu délateur, des fouilles ont été entreprises pour retrouver le corps de Jean-Marie Viel à St-Luc-de-Vincennes, en Mauricie. Celui-ci était présumé mort depuis septembre 1970. « Dans la confession de ses nombreux meurtres, Trudeau aurait avoué avoir commis son premier, assassinant Viel, parce que ce dernier aurait volé une moto. Trudeau, alors qu’il était chef du groupe de motards « Popye », l’aurait abattu de plusieurs balles pour ensuite faire disparaître le corps en l’enterrant dans le village de Saint-Luc. » [1] Malgré ces confidences, il semble que son corps n’ait jamais été retrouvé. En 1970, les Popeys possédaient un local dans le rang Saint-Alexis et un autre sur la rue Marchand à Saint-Louis-de-France, devenu depuis un secteur de la Ville de Trois-Rivières. [1] Yves Champoux, « Apac

1985, 29 juin - Sylvie Poirier, 25 ans

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  Homicide? – Deux scènes de crime? Photo publiée dans Le Soleil , 30 juin 1985. Saint-Jean-Chrysostome, Breakeyville, près de Lévis Non élucidé. Originaire de Rimouski, Sylvie Poirier, 25 ans, demeurait à Québec depuis un certain temps. Son corps a été découvert en bordure de la rue des Pins à Breakeyville le 29 juin. Selon Le Soleil, elle a plutôt été découverte à Saint-Jean-Chrysostome, sur un chemin de terre situé près de la route des Érables. La police était convaincue qu’il s’agissait d’un meurtre. En revanche, l’autopsie n’a pu déterminer la cause du décès. « Pratiquée à l’Institut médico-légal de Québec, l’autopsie n’a relevé aucune blessure mortelle ni externe ni interne. La jeune femme avait un côté de la figure enflée, possiblement le résultat d’une chute. Les analyses en laboratoire ont eu lieu à l’Institut de police scientifique de Montréal. C’est en effectuant une balade avec son tricycle à moteur que M. Raymond Alain, de Breakeyville, a aperçu le corps de la jeune